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Une chronique de Cassiopée. Mille pages d’un papier assez fin mais solide, une couverture souple que j’ai trouvé très désagréable au toucher (au bout de vingt minutes, je couvrais le livre…), une police de caractères ni trop grosse, ni trop petite, l’index...
Une chronique de Cassiopée. En regardant ce livre, une chose est certaine: si je l’avais vu en version broché grand format, l’illustration ne m’aurait pas fait envie… En éditions de poche, elle est plus attirante à mon goût. Cet aparté fait, j’ai vraiment...
Une chronique de Jacques. Comment parler d’un roman dont l’écriture est si dense, si riche, que chaque page mériterait un long développement ? Comment rendre compte avec honnêteté et justesse de cette intelligence des rapports humains et de cette habileté...
Une chronique de Marie . Je me souviens avoir terminé la lecture du premier roman de Tatiana Arfel, L’attente du soir, les larmes aux yeux, mutique face à tant de beauté, gorge nouée en disant que je n’avais pas lu un aussi beau roman depuis au moins...
Une chronique d’Emmanuelle. Un titre de polar, une couverture bicolore renvoyant à la série noire et au "giallo" italien, et pourtant il ne faut pas se fier aux apparences : 3 balles perdues n'a rien d'un roman policier, même si Sylvana Perigot, experte...
Une chronique de Jacques Est-ce une coïncidence ? Ou bien Auster s’est-il inspiré de Djian ? Je pencherai plutôt pour la coïncidence. En tout cas, lorsque j’ai commencé à lire ce de Paul Auster, j’ai réalisé qu’il traitait du même thème que le roman de...
Une chronique de Nicole. Après Cour Nord aux éditions du Rouergue, Antoine Choplin publie Le héron de Guernica dans la même maison. Si vous avez aimé Cour Nord vous retrouverez la même intensité dans l’écriture mais vous changerez de media artistique,...
Une chronique de Cassiopée . Les années 60 dans le Mississipi, les blancs, les noirs, « séparés mais égaux…. » nous dit une des voix de ce roman. Une narration avec trois regards différents sur une même société, celle des blancs bien pensants et des noirs...
Une chronique d’Astrid Passé le temps des congratulations inhérentes aux prix littéraires, votre chroniqueuse en quête d’auteurs se dirige d’un pas déterminé chez les bouquinistes. Fiévreuse, ma main cherche dans les bacs ce précieux Graal qu’est un bon...
Une chronique de Christophe. « Allez, croissez et multipliez, et étendez votre empire sur la Terre » (Genèse, 9, 7). Clare. Un nom de famille presque banal. Mais Clare, c’est bien plus qu’un patronyme anonyme, c’est une marque, une marque prestigieuse...
Une chronique de Cassiopée. «La liberté et son pendant, la solitude, maintenant je les connaissais bien. La solitude est à vous, elle vous tient, et on ne sait jamais si c’est une délivrance ou une malédiction.» Serge, Suzanne, un homme, une femme, une...
Une chronique de Jacques. Les engrenages du destin. Que dire d'un roman dont l'architecture est si précise et si astucieuse que le lecteur ne peut que se laisser piéger, l'inattendu tombant sur lui et l’enfermant dans une nasse implacable ? Oui, que dire...
Une chronique de Teluber La philo a le vent en poupe. Logique, en un sens. A une époque où chacun cherche une réponse « clef en main » à ses questionnements individuels, quoi, mieux que la philosophie, pour apporter une solution adaptée à chaque situation...
Une chronique de Nicole. « L’art de la déchirure et du déchirement... » Par une nuit où la lune ne s’est pas levée nous conte la quête subtile et envoûtante d’un manuscrit sur rouleau de soie et nous piège dans un fascinant jeu de boîtes gigognes. « Appelons-le...
Un conte hypnotique pour grands enfants... Une chronique de Nicole. Le Général Solitude d’Eric Faye n’a d’intérêt ni pour l’originalité de son sujet ni pour la façon dont il est traité et les références littéraires qui viennent à l’esprit en le lisant...
Une chronique de Jacques Ce dernier roman de Philip Roth a été confortablement médiatisé en France. Aussi n’aurais-je pas pris la peine d’en parler si je n’avais pas été en désaccord avec ce qu’en disent les critiques qui sont, à de rares exceptions près,...
Une chronique de Cassiopée « Comprendre ce que nous sommes pour accepter la mort. » La littérature jeunesse n’est pas forcément synonyme de niaiserie, fantômes, légèreté etc… Certains auteurs choisissent d’aborder des sujets graves, tout en laissant la...
Une chronique de Nicole. Certaines n’avaient jamais vu la mer, choral intemporel « Sur le bateau nous étions presque toutes vierges. Nous avions de longs cheveux noirs, de larges pieds plats et nous n’étions pas très grandes. Certaines d’entre nous n’avaient...
Une chronique d’Emmanuelle . Paul Gadenne - qui eut Robert Brasillach comme compagnon d'études et ami avant la guerre - fut contraint par la tuberculose à interrompre très jeune sa carrière d'enseignant , et sa "réclusion" en sanatorium, injuste châtiment...
Une chronique d'Eric Le ton est ici singulier : il parle de l’homme comme d’un petit animal qui se résout à ses instincts pour mieux s’éloigner de ses rêves puis y revenir. La conscience minérale du temps qui jaillit de l‘état enfantin du monde nous est...
Une chronique de Cassiopée « Toute chose disparaît dans sa propre apparence. » C’est un livre qui ressemble à un jardin japonais : calme, paisible, même lorsqu’un violent orage s’abat sur les plantes. Il est parsemé de Haïkus comme le jardin est parsemé...
Une chronique de Cassiopée Au bord du gouffre... Il s’appelle Austin, il aime sa sœur : Abilene, le base ball, ses parents… C’est « lui » qui raconte, qui nous explique sa vie, sa relation avec sa famille, ses camarades… Abilene est « handicapé des sentiments...
Une chronique de Cassiopée Un format agréable, un papier de qualité, une couverture sobre… Sabine Wespieser choisit de publier peu mais «bien choisi » (un seul livre chaque année fin Août)…. Quel courage dans un monde où les éditeurs (pour certains) multiplient...
Une chronique de Nicole . Schrödinger et le chat de Philippe Forest Comment résumer cette plongée dans l’abstraction, cette façon de creuser l’absence pour retrouver ce qui a troué la réalité, ouvert un gouffre métaphysique dont l’auteur n’est pas ressorti...
Une chronique de Cassiopée Assise dans mon canapé, de plus en plus recroquevillée, j’ai senti le froid descendre en moi au fur et à mesure que j’accompagnais Luca dans la situation inextricable où il se trouvait. Impossible de tendre la main à un être...